À propos


Un blog ? Oui.
Pour simplement partager et faire découvrir mes créations.

Côté technique, ça part dans tous les sens ? Oui.
J'ai l'impression que l'on peut tout faire avec le papier : découper, déchirer, plier, coller, du plat, du volume. Cela nécessite peu de place et de matériel.
A l'opposé, j'ai testé la gravure sur cuivre qui demande du matériel, un long apprentissage et de la patience. J'expérimente aussi la sculpture sur bois - sans formation, le modelage - sans scrupule, le dessin - sans arrêt. D'autres techniques - sans doute, sont à venir.
Le plus souvent c'est moi qui photographie le tout.

Est-ce que j'ai toujours des idées ? Non.
Mais une phrase résume bien ce que je ressens : « Vous ne pouvez pas épuiser la créativité. Plus vous l'utilisez, plus vous en avez » (Maya Angelou).
Quand je cale, mais que j'ai quand même envie de dessiner, je regarde ce que font les autres sur leurs blogs, pinterest, dans les expos ou les livres. Les créations des autres sont infinies et c'est très enrichissant à contempler : cela ne m'inspire pas directement mais me donne envie de créer à mon tour. Cela peut donner le vertige, mais c'est souvent l'occasion de faire clignoter ses rétines de plaisir.
C'est aussi pour ça que j'aime bien répondre à des commandes : c'est l'occasion d'aller là où ma propre imagination ne m'a pas encore menée.

Est-ce que des fois je rate ? Oui.
Avec le découpage, chaque mouvement est important, et parfois je passe à côté, au sens propre : couper au mauvais endroit, trop loin, à l'envers… il y a tant de façon de tout gâcher ! Parfois c'est l'occasion de rebondir, mais le plus souvent tout part à la poubelle.
C'est la même chose avec toutes les autres techniques mais c'est particulièrement vrai avec la découpe. Est-ce que ça arrive souvent ? Non. C'est suffisament déprimant.

Est-ce qu'il y a trop d'animaux sur ce blog ? Non.
Wikipedia m'annonce qu'il y a environ 16 000 nouvelles espèces découvertes chaque année avec déjà 1 500 000 animaux recensés sur terre. Et la plupart sont mignons.


photo : Roeselien Raimond